Artem - I like it rare !

Artem Jørgensen

Nom complet : Artem Jørgensen
Surnom : Art', Artie, Sac à puces ; Pupuce pour les proches
Nationalité : Russo-danois
Age : 21 piges
Genre / pronoms : ... Artem est un genre en soi
Orientation sexuelle : Pan dans ta face

Position : Attaquant
Element : Bestial (renard roux)

Avatar : Atsuya Fubuki - Inazuma Eleven

Votre personnage

 

Physique & Caractère

 

Artem est l'incarnation de beaucoup de choses, à tel point qu'on désigne certains individus comme étant artemiesques s'ils présentent le moindre symptôme d'hyperactivité ou d'explosivité émotionnelle avec option coq individualiste.
Artem est impulsif !! Tellement impulsif que son prénom se suffit à lui-même en fait ! Et parce que ça va rarement sans, miss-ter Pupuce est doublé d'une sensibilité et d'une susceptibilité dépassant tout ce que vous avez déjà pu connaître ! Un rien peut le mettre en pétard, à tel point qu'on remercie les cieux pour qu'il soit un Bestial renard au lieu d'un doté du Feu. Vous imaginez tous les incidents que ça aurait causé ? Déjà que comme ça, il a tendance à pas mal foutre le boxon autour de lui, on peut dire qu'on a évité l'apocalypse de peu. Je déconne pas !!

Ajoutons à cela une bonne grosse louche d'ego et d'égoïsme et nous voilà avec un gus pas patient pour un sou et prêt à foncer dans la moindre connerie au moindre prétexte. Non mais quand on a la technique, Artem est très le much manipulable ; mais seulement à partir du moment où vous arrivez à vous faire écouter par lui. Non parce que vous pensez vraiment qu'il a du temps à vous accorder à vous, une bande de gêneurs qui lui traîne plus dans les pattes qu'autre chose ? Allez donc vous faire rhabiller et laissez faire le pro, d'accord les mômes ?

Artem est buté et imbu de sa personne. Il n'a qu'une seule trajectoire en tête et s'y tient, quitte à tout exploser au passage. C'est un petit démon qui n'a cure des dégâts qu'il occasionne ! Non mais clairement, il ne vous connaît pas ? Mais qu'est-ce qu'il peut s'en battre les roubifoufounes de ce qu'il vous arrive !

Par contre faut mettre quelque chose au clair. S'il fonce sans réfléchir H24, c'est uniquement parce que c'est un putain de froussard qui ne s'assume pas et qui préfère gueuler plus fort quitte à faire taire la petite voix qui hurle au fond de son crâne milles visions de cauchemars ! Les défis dans les cimetières et les films d'horreur ? TEEEELLEMENT PAS SA CAME. Comptez pas sur lui pour assumer ses accès de faiblesse. Vous n'avez rien vu ni entendu ; après tout, les morts ça peut pas témoigner, hein ? VOUS VOULEZ PAS DEVENIR UN MORT, N'EST-CE PAS ??

Vous imaginez bien qu'avec tout ça, Artem s'en tape pas mal de blesser les autres avec ses mots. Les filtres ? Le tact ?! PEUF ! C'POUR LES FAIBLES C'TE DAUBE ! Il dit ce qu'il pense, et que les autres fassent avec. Par contre !! Osez le critiquer sur quoi que ce soit et il va vous bondir direct dessus, les crocs prêts à mordre ! Eh ouais, injuste le monde pas vrai ? C'pas donné à tout le monde de pouvoir jouer dans la cour des grands.

Mais, à côté de ça, Artem sera typiquement la personne qui balancera la phrase que vous avez besoin d'entendre sur le moment, que vous le vouliez ou non. C'est-à-dire, Artem est extrêmement immature sur bien des points, mais il sait où toucher, même inconsciemment. Votre âme ne présente pas de grandes différences avec la cage vers laquelle il fonce à chaque match, la balle au pied. Il tire tout aussi férocement qu'il parle. Bref, Artem, c'est quelqu'un d'entier (voire d'un peu trop).

Carnation : Blanc comme un c-
Taille : 1m80
Corpulence : N'en a pas l'air, mais est super costaud
Sexe : Intersexe
Cheveux : Roux tirant sur le châtain, mi-longs
Yeux : Verts & noisettes selon la météo
Notes et signes distinctifs : Aura brûlante. Regard pétillant. Ses attributs renard poppent quand il est content. Voix qui porte. Quelques cicatrices aux poings dues à quelques tabassages du passé (et un peu moins du passé). Ricanements proches du jappement. Taches de rousseur dans le haut du dos.
Langues parlées : Danois et russe (thanks family) + anglais

Histoire

Tout commença au Danemark !
Pardon, je reprends.

TOUT COMMENCE DANS MA FAMILLE À MOI AU DANEMARK !!
Les Jørgensen sont une famille aimante bénie par l'arrivée de leur second enfant. MOI !!
Moi, Artem Jørgensen, petit amour dès le premier jour. Ça sonne crédible, pas vrai ?

J'étais la terreur à l'école comme à la maison ; JE faisais MA loi!
Shura, mon grand-frère, fut le premier à goûter à mon terrifiant esprit de justice, se prenant salves de moqueries, de coups et autres mauvaises farces pendant toute notre enfance ! La chance pas vrai ?!
C'est à se demander comment il fait pour ne pas me détester. Ceci dit, on jouait tout le temps ensemble - quand ils ne me prenaient pas pour l'aîné et lui le cadet, les gens pensaient souvent que nous étions jumeaux, c'est pour dire. Mais enfin, tout ça s'est amélioré dès qu'on s'est tous deux trouvés derrière un ballon ! Toute notre complicité fraternelle a pris un essor tel qu'elle en est devenue inébranlable !!

Car nous avions compris que notre destin se jouerait sur un terrain, et je parle pas de celui de la vie.
Nous visions un parcours assez atypique, quand on sait que nos darons sont respectivement instit' et comptable. Ils nous y ont encouragé ! Faut dire que tant que j'étais sur un terrain, je pouvais ni tout casser ni mordre quelqu'un ! C'pas donné de se coltiner un hyperactif qui adore foutre la merde.

Bref, parce que notre duo à Shura et moi était déjà carrément puissant à l'époque, on s'est fait remarquer par un club de foot en dehors du Danemark, pas loin du pensionnat où nous ont envoyés nos parents !

C'était la libération, l'envol vers la gloire et les coupes dégoulinantes de sueur !!

Direction vers l'Angleterre, donc. Nous avions dans les quinze-seize ans, Shura et moi ?
Nos parents tenaient absolument à ce qu'on finisse nos études, histoire d'avoir des conneries de diplômes sur les bras avec lesquels fanfaronner si besoin. Mais la vérité, c'est qu'on passait plus de temps à courir après le ballon qu'après les travaux scolaires ! On s'entraînait tous les jours, devenant meilleurs tous les jours et surpassant tout le monde !! (en tout cas de mon point de vue, qui est très certainement aussi celui des autres.)


En dehors de ce cursus scolaire assez spécifique, nous étions ballotés du Danemark à la Russie entre les branches maternelle et paternelle de la famille. Pas moyen de louper un seul repas ni un seul cousin ! Tout le monde était là, et tout le monde s'explosait la panse avec enthousiasme. On s'amusait bien avec nos cousines et cousins, organisant des petits tournois de football où chaque équipe se battait tout d'abord pour nous avoir, Shura et moi - les fortes têtes quoi. C'était et c'est toujours super convivial comme évènement ! Et ça permettait d'entretenir notre talent, à mon frère et moi, ainsi que les liens avec la semʹjá.

Etant donné l'absence de tolérance du beau pays de Moscou et Saint-Pétersbourg envers les personnes de ma condition physique, il va de soi que je me suis toujours présenté en dehors de la famille comme étant Artem, le gentil petit "garçon" des Jørgensen. Histoire d'éviter certaines emmerdes pas forcément nécessaires, vous m'voyez.

Mais bref, avant de faire cette disgression sur la semʹjá, je parlais de gloire et de succès !

En effet, récemment, Shura et moi avons reçu une invitation.
Un contrat !! À Island Eleven.
Là où la crème de la crème est préparée afin d'être encore plus la crème de la crème. Maintenant que j'y pense, pas étonnant que Shura et moi ayons été sélectionnés, hin.

Ceci dit, quand j'ai lu la lettre, j'ai tout d'abord cru à une mauvaise blague. Je veux dire, Island Eleven ? Ça sonne comme une croisière miteuse qui ne peut que mal tourner, non ? Ou alors le nom d'un bordel particulièrement perché ?? Ou encore le nom d'un endroit de jeu vidéo uniquement utilisé pour la promotion dudit jeu vidéo à l'intention des individus les plus créd-

Bref, on a fait quelques recherches sur Island Eleven et son propriétaire, Shining.

DU FOOT !!! Une putain d'île paradisiaque où l'on fait du FOOT !! Enfin un endroit où mes capacités de génie resplendiraient à leur juste valeur, pas comme dans ce foutu club où l'on commençait à s'embourber, Shura et moi !! On sort enfin de ce trou à rat où pullulent les mauvais éléments !! PUTAIN !!!

Bah, on a signé le contrat du coup. Et puis maintenant me voilà.

VOILÀ ! À moi les victoires bande de couilles molles !!


Questions pour un champion :

Journaliste d'un journal local : [...] Quand est-ce que votre élément s'est-il réveillé ?
Artem : À sept ans !
[Silence]
Journaliste : ... Et dans quelles conditions ?
Artem : Eh bien... Y'avait ces enculés en primaire qui avaient bousculé mon frère-
Journaliste : Shura, c'est ça ?
Artem : Me coupe pas connard !!
Oui, Shura ! Je suis allé leur donner une leçon le lendemain et ça a mal tourné... J'étais tellement en colère, vous comprenez ? J'étais dans ce genre de phases d'affection agressive où je ne supportais pas qu'on embête mon grand-frère à ma place. J'ai férocement mordu le bras d'un des gars, sauf que ce sont des crocs qui s'y sont enfoncés.
Ça pissait le sang je vous dis pas !! J'ai failli me faire renvoyer de l'école, mais comme c'était accidentel, j'ai écopé de quelques punitions et corvées à la place ainsi que de trois jours d'exclusion. Je vous dis pas le savon que les parents m'ont passé ! Faut dire qu'ils avaient sacrément flippé sur le coup, quand ils ont appris ce qu'il s'était passé. Mais au moins ces connards n'ont plus emmerdé Shura !!
Journaliste : À ce propos, Artem... Il semblerait que ce genre de cas de lutte soit assez récurent dans votre parcours.
Artem : Et ?
Journaliste : Et bien... Le football ne vous a-t-il pas aidé à canaliser toute cette énergie... brute qui pulse de vous ?
Artem : Oui, j'ai plus emmerdé Shura non plus !! Pas directement en tout cas. Je veux dire, un frère c'est toujours chiant, pas vrai ?
... Il y avait ce type au club en Angleterre, qui avait remis en question ma force, une fois, en apprenant que j'étais intersexe, et parce qu'il rageait de n'avoir servi à rien pendant le match, comparé à moi. Il m'avait traité de "joueuse sans avenir qui ne pense qu'à sa sale gueule égocentrique".
Journaliste : Ce qui n'est pas vr...-?
Artem : Uh ?
Journaliste : Non rien, continuez.
Artem : Je lui ai envoyé mon poing dans la gueule puis attrapé à la gorge et plaqué violemment contre les casiers, des griffes d'animal au bout des doigts.
"T'es sûr de vouloir comparer mes couilles aux tiennes une fois que je te les aurai arrachées, fils de pute ?!" que je lui avais grondé du bout des crocs. Normal quoi ! Il m'avait insulté, il fallait que je lui apprenne les règles à ce connard à la mentalité de merde. Quand j'ai lu la peur dans son regard, je l'ai relâché, le laissant s'écraser sur son sale cul de merde. Puis je me suis détourné avec mépris, parce que j'étais bien au-dessus de cet incapable.
Sauf que quelques pas plus loin, il m'a bondi dessus, la rage au ventre.
On s'est mis à se taper férocement dessus. Marco, l'un de nos coéquipiers qui avait assisté à la scène, avait dit que c'était ultra flippant, comme s'il avait été face à deux bêtes avides de déchirer la peau de l'autre jusqu'aux nerfs. Je pense que je lui aurais arraché un bras si je l'avais pu, à ce fils de pute qui m'avait insulté. Les quelques coéquipiers présents qui essayaient de nous séparer échouaient parce qu'à chaque fois, nous nous libérions et retournions nous défoncer la gueule.
C'est là que Shura est intervenu. Il a calmé le jeu d'un seul coup, rien que par sa présence puis nous a pris cas par cas pour régler la chose autrement qu'avec nos poings ensanglantés.
... Il ne m'a plus parlé pendant quelques jours après cet épisode. Je crois que c'était pire que tous les discours qu'il aurait pu me sortir. Shura, espèce de fourbe !!
Journaliste : Mais ce... coéquipier avec qui vous avez eu quelques frictions, n'était-il pas celui avec lequel vous étiez sorti, après ?
Artem : ... Ouais, mais ça n'a pas duré. Il était trop con. De toute façon il a quitté le club après notre séparation. C'était mieux ainsi, vu comment il tirait mal ! J'espère qu'à défaut d'être devenu un bon joueur il est devenu moins crétin... Je déconne. Je m'en branle bien.
Journaliste : Pour quelqu'un qui s'en... "branle", son souvenir a l'air de bien vous marquer.
Artem : Bon écoutez, on est là pour parler de mes succès ou pour une séance de psychothérapie ? Non parce que sinon, apportez-moi au moins un fauteuil confortable au lieu de cette chaise branlante, p'tain !
Journaliste : *rire*
Artem : Ah parce qu'en plus vous vous foutez de ma gueule ?! Mais je vais vous cogner moi !!
Journaliste : Hum, allons allons, pas besoin d'être aussi extrême. J'ai une autre question pour vous.
Artem : Qui est ??
Journaliste : Si vous deviez vous trouver dans une équipe composée de joueurs plus forts que vous et que vous vous retrouviez à la traîne, comment réagiriez-vous ?
[Silence]
Artem : ... Bah, la question ne se pose pas. Après tout, c'est moi le plus fort de tous !! Shura et moi, nous sommes invincibles !!
Journaliste : ... Essayez d'y répondre vraiment, s'il-vous-plaît.
Artem : *soupir* Bon. Eh bien la réponse est simple. Je travaillerais dur pour être au-dessus de tous, comme d'habitude.
Journaliste : Mais vous avez conscience que le football est un sport d'équipe, n'est-ce pas ?
Artem : La chasse AUSSI est un sport d'équipe !! Il y a pourtant des prédateurs plus forts que d'autres dans une même meute !! Alors me racontez pas de conneries !! Ce qui compte, c'est la victoire et RIEN d'autre !! LA VICTOIRE !! Un jeu n'est amusant que parce qu'il y a la victoire en son bout !!!
Journaliste : D'accord, je vois... Eh bien Artem, je vous remercie pour vos réponses.
Artem : Ouais ouais, c'est ça, à la revoyure madame la psychologue ! Tssk.

Style de jeu et relation à l'équipe

Artem c'est à la fois la flèche et l'archer ! C'est-à-dire qu'il file mais en obéissant qu'à sa propre stratégie, parce que de toute façon les autres sont de gros faibles qui le gênent dans ses magnifiques jeux de jambes ! C'est un style offensif et insupportablement individualiste, donc. Dans le genre insaisissable et qui mise plus dans la force dévastatrice de ses coups que dans les passes avec ses "coéquipiers". Artem fonce et défonce. Sauf que, heh, faire le louloup solitaire dans un jeu d'équipe, ça donne pas forcément que des résultats positifs. Son caractère teigneux est à l'origine de pas mal de tensions dans le groupe et, contradictoirement, un moteur qui pousse les autres à se surpasser rien que pour le plaisir de lui rabattre le caquet (sauf que, entre nous, il s'en fout prr).
Ouep, c'est une tête à claques dont on a très fort envie de lui faire ravaler son putain d'ego à la con. :D

 

Halloween